Agés de plus de cinquante voire soixante ans, ils partent en mission. Regard sur une véritable tendance.
Johan et Antonia (photo) sont engagés en Papouasie-Nouvelle-Guinée avec Wycliffe. Ils sont partis en mission à l’âge de 52 et 50 ans respectivement. Ce pasteur et cette employée de commerce sont aujourd’hui actifs dans la traduction de la Bible et la formation des traducteurs.
Après une carrière dans le pharmaceutique en Suisse, Ronald*, un autre exemple de senior attiré par la mission, a découvert celle-ci lors d’un voyage au Kurdistan.
Sensible, tout comme son épouse, à la mission depuis des années, il a entendu l’appel intérieur à «faire ses bagages» en rendant visite à un couple d’amis au Maghreb. Six mois plus tard, ils étaient tous deux sur le terrain, avec Frontiers, dans un pays d’Afrique du Nord, Madame dans les contacts avec les femmes du voisinage et Ronald dans le commerce médico-technique d’une part et le coaching de jeunes entrepreneurs d’autre part. Avec des occasions de formation et de témoignage à la clé.
Les deux couples nourrissaient depuis longtemps un intérêt pour la mission. «Les circonstances ne nous ont pas permis de partir en mission plus tôt», explique Johan.
ONG et missions recherchent seniors
Ces vocations tardives se multiplient. Un couple d’enseignants préretraité prépare notamment son départ avec la SIM dans un pays africain, afin de former durant plusieurs années des enseignants...
Suite à lire sur Christianisme aujourd'hui
Vous pouvez trouver cette ressource chez son éditeur ou un libraire